Pour la troisième année consécutive le Heavy Week-end se déroulera au Nancy Open-Air, les 5, 6 et 7 juin 2026 et accueillera par ordre d’apparition sur la scène du Zénith : SABATON le vendredi, GOJIRA le samedi et ELECTRIC CALLBOY le dimanche, soient trois des figures les plus attractives de la scène «metal» actuelle, chacun de ces groupes représentant un courant bien spécifique de cette musique qui n’en finit pas de se régénérer, voire de se réinventer.
Fierté nationale oblige, GOJIRA va sans aucun doute créer la sensation en donnant à Nancy son seul et unique concert en France en 2026. Un show à même d’unir toutes les franges métalliques de l’Hexagone et qui s’inscrira en marge de ses prestations en première partie de Metallica, prévues en Europe l’an prochain. L’occasion immanquable de rejoindre ces chantres du groove metal dans leur irrésistible ascension.
Dans un tout autre style, les Suédois de SABATON viendront donner une leçon d’histoire au son de leur power metal fédérateur, rendant hommage à des légendes telles que Napoléon, Jeanne d’Arc ou Jules César, dans un univers tout feu tout flamme.
Enfin les allemands d’ELECTRIC CALLBOY débouleront avec leurs hymnes ultra dynamiques et débordant d’optimisme, qui ne manqueront pas de faire bondir le public dans tous les sens.
Trois jours, trois groupes, trois styles, trois bonnes raisons de se donner rendez-vous au Heavy Week-end les 5, 6 et 7 juin 2026 dans le cadre du Nancy Open-Air.
Plus de groupes à venir
Poids lourd de la scène heavy metal actuelle, SABATON connaît un succès sans précédent dans le monde entier et particulièrement en France où le groupe s’est produit en tête d’affiche du Hellfest en 2022, avant de donner un concert archi complet au Zénith de Paris en avril 2023 lors de «The Tour To End All Tours ».
En vingt ans et 10 albums studio, SABATON a accumulé les disques d’or et de platine tout en générant plus de 4 milliards de streams toutes plateformes confondues, et près de deux milliards de vues sur YouTube ! Fort d’une légion de fans ultra fidèles, SABATON se distingue grâce à une approche artistique associant une conception et une production scénique exceptionnelle à des albums conceptuels grandioses, liant de réels événements de guerre historique à du heavy metal classique. Une vision unique qu’il a toujours pris soin de retranscrire sur scène et que le groupe est désormais prêt à transcender à l’occasion de « The Legendary Tour », qui passera par le Heavy Weekend le vendredi 6 juin 2026.
Intitulé « Legends », le 11ème album studio de SABATON qui vient tout juste de sortir, s’adresse aux amateurs de rock et d’histoire de tous âges. Cette fois le groupe suédois se penche avec passion sur le parcours de certains des personnages les plus marquants et les plus fascinants de l’Histoire, tels que Jeanne d’Arc, Napoléon, Jules César par Genghis Khan ou encore le maître d’armes japonais Miyamoto Musashi pour n’en citer que quelqu’uns.
Un clip à travers lequel SABATON rend hommage à Napoléon et refait l’histoire, non sans humour.
«Ah! Ça ira, ça ira...» C’est incontestable, lorsque, le 26 juillet 2024, le célèbre chant révolutionnaire a mis le feu à La Conciergerie au son des riffs incendiaires de GOJIRA, le groupe s’est retrouvé propulsé dans une autre dimension. Mais si cette inoubliable performance lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris lui a permis de remporter un Grammy Award et de se faire connaître bien au-delà du cercle fermé des amateurs de «metal», le quatuor français n’avait pas attendu celà pour être reconnu par ses pairs et les fans au niveau international.
Voilà maintenant 25 ans que GOJIRA a sorti son premier album et tourne à travers le monde entier comme aucun autre groupe de rock français n’avait réussi à le faire avant eux. Le 29 juillet dernier, de passage au festival de Carcassonne, GOJIRA a offert un avant goût du spectacle qu’il donnera en décembre prochain sur sa tournée française, qui s’annonce déjà historique et pour laquelle on attend plus de 100 000 spectateurs !
Alors qu’aux mois mai/juin 2026 le groupe va assurer la première partie de Metallica dans différentes grandes villes européennes, le samedi 6 juin, GOJIRA sera à Nancy en tête d’affiche du Heavy Week-end pour ce qui sera son seul concert en France pour l’année 2026 !
Revivez le jour où Gojira est entré dans l'histoire en devenant le premier groupe de metal à se produire lors d'une cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques
Un temps considéré comme les jeunes loups de la scène « metal », il faut bien avouer qu'aujourd'hui, avec près de 25 ans de carrière et 10 albums au compteur, Trivium fait désormais partie des valeurs sûres du circuit et symbolise parfaitement le renouvellement générationnel de cette musique.
Au fil de ses disques, le quatuor d'Orlando, Floride, a su remettre en question les codes du metal extrême en y injectant une dose de mélodie, une touche de rock'n'roll tout en conservant une ampleur propre au black metal. Ils sont rares les groupes capables de séduire à la fois les fans de Metallica et d'Iron Maiden.
Avec un total de plus d'un million d'albums vendus, des centaines de concerts donnés à guichets fermés, plus d'un demi-milliard de streams et une nomination aux GRAMMY® Awards, Matt Heavy (chant, guitare), Corey Beaulieu (guitare), Paolo Gregoletto (basse), et Alex Rüdinger (batterie) vont illuminer la scène du Heavy Weekend avec un feu d'artifice de guitares, des rythmiques endiablées et des refrains qui vont faire trembler le Zénith Open de Nancy
L'été prochain les frères Cavalera débarqueront en Europe pour revivre avec leurs fans quelques uns des moments les plus marquants (et violents) de leur carrière, mais aussi pour montrer aux jeunes générations à quel point ce "chaos métallique old school" est à la base de ce qui allait devenir le groove metal et influencer les vagues à venir qu'elles soient metalcore, nu metal ou alternatives.
Les fondateurs de Sepultura viendront en effet exécuter sur scène l'intégralité de leur cinquième album, le bien nommé "Chaos A.D." C'est à travers les 12 titres de cette véritable tornade sonore, sortie en 1993, que le plus fameux des groupes brésiliens avait transcendé son death/thrash déjà novateur en y incorporant des éléments punk/hardcore, voire industriel et même de la musique traditionnelle brésilienne.
Cette tournée, dédiée à "Chaos A.D." fait suite au « Third World Trilogy Tour » au cours duquel Iggor et Max Cavalera avaient célébré les premiers trois opus de Sepultura : "Bestial Devastation" (1985), "Morbid Visions" (1986) et "Schizophrenia" (1987). Autant dire que ce retour aux sources entrepris par les deux frangins remet les pendules à l'heure de Belo Horizonte. N'oubliez pas, leur mot d'ordre "Refuse/Resist" est plus que jamais d'actualité !
Elles ont foulé les scènes des festivals les plus emblématiques tels que Glastonbury, Hellfest, Rock en Seine ou Les Vieilles Charrues et ont partagé la scène avec des légendes comme Foo Fighters, Muse et Bring Me The Horizon. Encensées par des icônes comme Tom Morello (« un groupe incroyable ») et Elton John (« phénoménal »).
Entrant maintenant dans une nouvelle ère, Nova Twins ont dévoilé « Parasites & Butterflies », leur dernier album qui bouscule les genres, mêlant influences hip-hop, punk, rock, pop et électro.
S’il fallait désigner un groupe pour symboliser l’évolution et le renouvellement perpétuel de la scène «metal», il y a fort à parier qu’ELECTRIC CALLBOY serait l’un des noms les plus souvent cités. En mêlant la puissance de ses guitares à des rythmes quasi techno, le quintet est tout simplement en train de révolutionner, avec succès, le genre. Au-delà de leur musique, les allemands d’ELECTRIC CALLBOY n’hésitent jamais à injecter une bonne dose d’humour dans leurs compos, il n’y a qu’ à regarder leurs clips, qui font un carton sur Youtube, «Elevator Operator» en tête, pour s’en rendre compte.
Ces vidéos survitaminées et leurs prestations live pleines d’énergie et d’amour (de mémoire de «métalleux», on n’avait jamais vu autant de coeurs et de drapeaux arc-en-ciel déployés lors d’un concert au Hellfest, où ils se sont produits en 2023 et 2025 ) sont à la base de leur popularité exponentielle. Leurs rythmes trépidants, leurs riffs électrisants conjugués à leur «positive attitude» sont communicatifs et font voler en éclats les préjugés, repoussant ainsi les limites d’une musique parfois un peu trop souvent prisonnière de ses codes...Si les fans, de plus en plus nombreux, sont convaincus d’avance, «les autres», forcément plus sceptiques face à ce son «tout neuf», sont d’abord dubitatifs, avant d’irrésistiblement faire des bonds, pour finalement sortir de cette parade sonore multicolore, le sourire aux lèvres tout simplement heureux.
Le dimanche 7 juin, au Heavy Week-end, ELECTRIC CALLBOY va donc délivrer un show où joie, convivialité, tolérance et pogos à répétition seront les seuls mots d’ordre.
Echauffez-vous aux sons et aux images de cette chanson qui incarne parfaitement l’ADN euphorisant d'Electric Callboy
Three Days Grace a récemment sorti "Alienation", un 8ème album studio qui non seulement marque le grand retour du chanteur original Adam Gontier aux côtés de Matt Walst, l'autre vocaliste du combo, il représente aussi le point de départ d'une nouvelle ère pour ce groupe canadien qui a commencé à faire parler de lui au début des années 2000.
Entre ballades mélancoliques aux hymnes rock teintés d'un brin de nostalgie, Three Days Grace est parti à la rencontre, avec succès, d'un nouveau public grâce à ses paroles chargées d'émotion et ce son percutant qui le caractérise. Trois producteurs sont derrière ce grand retour : Howard Benson (Hoobastank, My Chemical Romance, P.O.D...), Zakk Cervini (Blink-182, Simple Plan, Limp Bizkit, Parkway Drive, Yungblud, Bad Omens, Architects) et Dan Lancaster (Bring Me The Horizon, Muse), c'est dire à quel point Three Days Grace possède des arguments de taille pour toucher toutes les franges de la scène rock actuelle.
Après des milliards de streams, des millions d'albums vendus et des tournées jouées à guichets fermés, dont deux concerts archi complets à Paris au mois de décembre, Three Days Grace et son rock puissant vous donnent rendez-vous au Heavy Week-end pour fêter comme il se doit leur renouveau.
Originaire de Boston, Ice Nine Kills est l'archétype du groupe captivant tant au niveau des sons qu'il produits que des images qui les illustrent. Ne laissant rien au hasard musicalement et visuellement ces américains représentent le présent mais aussi l'avenir du "metal" grâce à des mélodies aussi percutantes qu'accrocheuses, et des attaques vocales qui saisissent l'auditeur à la gorge.
En France, le groupe est passé des clubs parisiens au Stade de France en première partie de Metallica ! Sur scène les shows de INK s'inscrivent dans la lignée de ceux d'Alice Cooper ou Rob Zombie, c'est tout dire. Après avoir puisé son inspiration dans les grands classiques du film d’horreur, le groupe pousse désormais son exploration artistique vers d'autres blockbusters du cinéma en général, trouvant ainsi des opportunités illimitées d'élargir son spectre musical. Une démarche artistique tout simplement fascinante.
Armé de ses « Shadows » Shaârghot ravage la scène et imprègne chaque lieu de peinture noire, dans une ambiance cyber-punk et post apocalyptique délirante.
Une des grandes révélations de la scène indus - electro/punk, la créature a fait ses armes auprès des pointures du genre : Little Big / Punish Yourself / Hocico / Ministry / Les Tambours du Bronx / Front 242...
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